En hiver, le cheval dépense plus d’énergie pour se réchauffer. Offrir du foin de qualité à volonté et compléter avec une ration adaptée est essentiel. On peut aussi soutenir la digestion et l’assimilation avec des plantes comme l’ortie ou la levure de bière.
Les plus utilisées sont l’échinacée, le cynorrhodon (vitamine C naturelle), l’ail et l’ortie. Elles aident le cheval à mieux résister aux infections hivernales et à garder son énergie.
Pas forcément. Un cheval en bonne santé, non tondu, développe un poil d’hiver efficace. Les couvertures sont utiles surtout pour les chevaux tondus, âgés ou fragiles.
Il faut privilégier des séances plus progressives : un échauffement plus long, un travail plus court et adapté aux sols (souvent boueux ou gelés), et un retour au calme soigné. L’important est de maintenir la régularité sans chercher l’intensité.
Les chevaux âgés digèrent moins bien et ont tendance à perdre du poids. Il est conseillé de donner un foin très appétent, éventuellement haché ou humidifié, et d’ajouter un complément digestif et minéral. Côté plantes, les seniors sont plus sensibles aux raideurs et aux coups de froid. Voici les plantes pouvant aider :
Un jeune cheval dépense beaucoup d’énergie pour grandir et se réchauffer. L’alimentation doit rester équilibrée et riche en fibres. Il est aussi important de lui offrir une sortie quotidienne, même courte, pour sa musculature et son moral.
La base reste le foin, distribué à volonté si possible. Comme l’herbe est rare, il faut veiller aux apports en minéraux et oligo-éléments via un complément ou une pierre à sel enrichie. On peut aussi utiliser des plantes reminéralisantes (ortie, prêle).
L’humidité fragilise les pieds et favorise les fourchettes pourries. Un curage quotidien, un bon drainage du paddock et des soins externes (argile pour les fourchettes, goudron, onguent) permettent de limiter les risques.